Considéré comme le premier film parlant, plusieurs scènes chantées et quelques dialogues sont insérés au milieu des scènes muettes (qui restent cependant les plus nombreuses).
Tou bi-Chevat célèbre le nouvel an des arbres et le renouveau de la nature. Les habitants d'Erets Israël devaient prélever la dîme des arbres fruitiers pour les Cohen et les Levi qui travaillaient au Temple et pour les pauvres...
Moché ben Abraham Pescarol compte parmi les rares scribes-enlumineurs qui ont signé et daté leurs œuvres au 17e siècle. Trois de ses Méguilot nous sont parvenues. Inspiré par son époque, Pescarol a habillé les soldats du roi Assuérus à la mode de son temps.
Le mot synagogue, du grec sunagōgē, signifie : lieu de réunion. En hébreu la traduction de synagogue est Bet ha-Knesset qui signifie la maison d'assemblée. C'est le lieu où les fidèles se réunissent pour l'étude et la prière.
'Hanoukka, en hébreu חנוכה, est une fête juive d'institution rabbinique, commémorant la ré-inauguration de l'autel des offrandes dans le second Temple de Jérusalem. Elle marque une importante victoire militaire des Maccabées et symbolise la résistance spirituelle du judaïsme à l'assimilation grecque.
Le calendrier hébraïque a été fixé grâce à des calculs mathématiques et astronomiques. Il rend ainsi possible l'observance du temps pour toutes les communautés à travers le monde.
Yom ha-Atsmaout, Jour de l’Indépendance est un temps fixé par l’État d’Israël dans la seconde moitié du 20e siècle pour célébrer la création de l’État. La célébration a généralement lieu le 5 iyar, entre la mi-avril et la mi-mai du calendrier grégorien. Initialement modelée sur les fêtes nationales d’Europe et sur l’Independence Day, elle s’est doublée pour certains d’un message religieux, l’indépendance d’Israël étant perçue comme un miracle digne d’être célébré par des louanges, sur le modèle de 'Hanoukka et Pourim.
Les ruines de la ville de Doura Europos se situent en Syrie, sur la rive droite de l'Euphrate, dans la province de Deir ez Zor, à 35 km de la frontière irakienne. La ville est découverte en 1920, lorsqu'un soldat anglais, en creusant, tombe dans une pièce aux murs recouverts de fresques. La synagogue de Doura Europos est découverte en 1932. Les fresques seront déposées au musée de Damas
en 1934.